Tout droit jusqu'au matin …

Un goût de paradis

Mardi 11 février 2025

Dunsandel – Tekapo / Soleil / 24°

Voilà, nous venons de quitter la maison de Libby et Bryan et reprenons notre liberté. Drôle d’expérience quand même ! ☺️ Il y a 2h30 de route jusqu’au lac Tekapo, notre prochaine étape.  Nous avons maintenant 4 jours pour découvrir le coeur de l’île du Sud de la Nouvelle Zélande avant notre prochain volontariat. Il s’agira à nouveau d’un HelpX. Croisons les doigts pour que celui-ci soit plus riche en interactions. 🤞

Le trajet jusqu’au lac est tranquille mais le paysage n’est pas particulièrement intéressant. On en profite pour se reposer, sauf Simon qui conduit, évidemment ! A notre arrivée, nous sommes agréablement surpris. Notre ancien hôte, Saïmon, nous avait parlé de cet endroit avec réticence, lui préférant largement le lac Wanaka. Pourtant, le lac Tekapo est très beau, calme et paisible. On pique-nique devant une aire de jeux avec tyrolienne où Sam et Adam s’amusent comme des enfants de 5 ans. Ils rient à gorges déployées. Leur rire est communicatif et nous fait du bien . 

Dans l’après-midi, nous prenons le chemin d’une randonnée de 3 heures pour aller jusqu’au sommet du Mont John. Cette magnifique balade nous régale par ses couleurs de sable et sa végétation. Samuel marche sans chaussette ni chaussure. Il se sent plus à l’aise ainsi. Les autres randonneurs le regardent en souriant à notre passage. Un jeune garçon avançant pieds nus et sautant de pierre en pierre au coeur du paysage d’un si célèbre film. Ça vous rappelle quelqu’un? Point d’anneau à son cou ni de baluchon sur son dos mais la joie et l’insouciance des promenades dans la Comté. Le point de vue est grandiose. Nous sommes comblés par tant de beauté. 

   

    

En redescendant nous trouvons un spot sur la rive et je ne résiste pas à l’appel de l’eau. Les garçons préfèrent rester sur le bord cette fois-ci. « C’est trop froid » disent-ils. Ah, les petits joueurs ! Une bonne demi-heure plus tard, je commence effectivement à me refroidir. Hop, séchage, rhabillage et fin de la randonnée. C’était une fois de plus magnifique. Décidément, toute la publicité sur la Nouvelle Zélande, n’est pas surfaite. C’est vraiment une île incroyable.

Nous prenons le chemin de notre logement : une auberge de jeunesse pour backpackers. Plutôt destinée aux jeunes entre 20 et 30 ans avec peu de moyens mais on s’en fiche car la moyenne d’âge de nous 5 est de 28,5 ans. Pile poil !

On prend notre dîner à l’auberge râlant sur cette jeunesse qui a du mal à laisser les lieux propres après son passage. Ben oui quoi, c’est pas difficile de faire la vaisselle, de l’essuyer et de la ranger pour ceux qui suivent ! (Oh, les vieux relous !) On dort tous les 5 ensemble dans une sorte de dortoir pour 4. Ce sera très bien pour une nuit. Pas de télé ici mais du wifi. Ouf, les garçons sont sauvés, ils vont pouvoir jouer à leur jeu vidéo favori. D’un coup, ils se détendent. Bon, les lits ne sont pas fous car on entend les ressorts dès qu’on bouge un peu. Espérons que nous arriverons quand même à passer une nuit correcte. 

Avant d’aller nous coucher, nous allons faire un petit tour au pied du lac pour admirer le coucher de soleil sur l’eau. Les couleurs sont flamboyantes et la lune apporte une touche de poésie à ce tableau impressionniste. Monet n’a qu’à bien se tenir.

 

 

Mercredi 12 février 2025

Tekapo – Wanaka – Hawea / Soleil / 28°

La nuit a été bruyante, rythmée par le bruit des ressorts, et peu reposante. Heureusement, nous partons aux aurores pour arriver tôt au Mont Cook afin d’éviter la foule. En effet, la randonnée du Mont Cook qui est la montagne la plus élevée de Nouvelle Zélande (3 724 m), est très prisée. On y arrive à 9h15 et il y a déjà du monde. On parvient quand même à trouver une place de parking rapidement. Cette randonnée est très empruntée d’une part car ses paysages sont exceptionnels mais aussi car elle est facile (aucun dénivelé) et bien aménagée malgré sa durée totale de 3 heures aller-retour. Malheureusement, elle ne nous emmène pas au sommet de la montagne (inaccessible pour des personnes lambdas) mais jusqu’à un point de vue splendide. 

Le trajet de la rando est vraiment très beau et nous sommes bénis avec la météo. Nous étions partis de Tekapo sous les nuages et un grand soleil nous accueille à Cook. Nous savourons donc le paysage dans les meilleures conditions possibles. Nous passons trois ponts suspendus, des cascades, des torrents. Le Mont Cook est constamment dans notre ligne de mire. Majestueux avec sa neige éternelle. Au bout de la balade, nous arrivons à un lac d’une couleur de pierre. Il y a du monde mais le lieu est suffisamment grand pour pourvoir admirer le glacier à loisir. Nous restons en admiration pendant près de 30 minutes devant le spectacle de la nature. Comme à chaque fois que nous sommes devant ce type de spectacle, nous vivons un moment suspendu de méditation (sauf blague de Nino de temps à autre).  Puis nous reprenons le chemin en sens inverse. Nous qui n’étions pas très enthousiastes jusqu’ici par les randonnées en aller-retour et qui préférions largement les boucles, nous voici épatés par ce trajet.  Quel ravissement de ce côté-ci aussi. Le Mont Cook est dans notre dos et c’est le lac Pukaki qui nous fait maintenant face. Je profite de chaque moment, de chaque pas, de chaque son, de chaque odeur, de chaque sensation, goûtant avec délectation le moment présent. 

Vers midi et demi, nous arrivons au parking et décidons de nous éloigner un peu de la foule pour pique-niquer. Nous parlons peu, encore sous le charme de la balade qui a séduit petits et grands. Nous trouvons un endroit pour déjeuner juste à côté de la piste d’hélicoptère du coin. C’est l’une des attractions de la région : survoler les glaciers en hélico et s’y poser vite fait, le temps d’une photo souvenir. On jette un œil au prix. Ouhlala ça pique ! Presque 500€ par personne pour 3 heures d’hélicoptère. Je suis sûre que ça doit valoir le coup mais impossible de dépenser autant d’argent. Notre budget est déjà plus que serré. 

On repart direction Wanaka où nous découvrons un grand lac au centre d’une station balnéaire. Il y a de nombreuses possibilités d’activités. On propose aux enfants de faire du vélo et/ou du kayak demain mais ils préfèrent se balader (je les soupçonne de faire attention à notre budget). Pas conquis par le lieu qu’on nous avait pourtant vendu comme LE SPOT du coin à ne pas manquer, nous repartons rapidement pour notre Airbnb qui se trouve être une petite cabine dans un camping au bord du lac Hawea. Eh oui, cette région est la plus chère de Nouvelle Zélande. On est donc obligés de se rabattre sur les propositions les plus simples. Mais un camping, ça nous va bien. Ca nous rappellera les capitaineries de notre année en bateau. 

On tombe tout de suite sous le charme de cet endroit : très simple, très propre et très paisible par rapport à l’effervescence de Wanaka.  On adore. Dans notre petite cabine, il y a 5 lits, une table et un frigo. La cuisine commune est dans un autre bâtiment. On prend notre repas sur une table de pique-nique en compagnie de Charles, un français, rencontré en faisant bouillir nos pâtes. Il y a énormément de Français en Nouvelle Zélande actuellement. Tout le monde le dit (nos hôtes surtout qui ont de nombreuses demandes de volontaires français) mais on ne s’en explique pas la raison. Peut-être le contexte politique actuel. 🤔 La petite plage du camping est « so cute » et l’eau y est magnifique. J’en ai déjà l’eau à la bouche. Mais il est tard. On reviendra demain pour se baigner, sans faute !

Pour finir la soirée, on se met devant le film « Largo Winch » mais on s’arrête avant la fin car on s’endort devant. Les matelas sont ultra confort et aucun ressort pour nous gâcher la nuit !

Jeudi 13 février 2025

Lac Hawea / Soleil / 28°

Simon se réveille tôt ce matin et part courir une heure le long du lac. La météo est parfaite, ciel bleu, soleil mais pas trop chaud. Après réflexion sur notre programme du jour, on se dit qu’on n’a pas envie de se presser aujourd’hui. Pour une fois, on décide de « chiller » toute la matinée au camping. On y est vraiment trop bien. On en profite pour aller tester le coin baignade et on se retrouve au paradis. Eau transparente dans un cadre exceptionnel. Moment de pur plaisir. « Jouissif », oui, jouissif est le terme exact pour cette émotion là ! On en profite aussi pour faire un temps de lecture accompagné par la musique zen diffusée par le « Secret Sauna » situé juste à côté de la plage. On n’est pas bien là ?  J’ai beaucoup de mal à sortir de l’eau mais le temps ne s’arrête pas, malheureusement. Tombés sous le charme de ce spot, on y revient pour notre pique-nique du midi. « Il est là le bonheur, il est là. »

Dans l’après-midi, on retourne sur Wanaka que nous avons uniquement survolé la veille, histoire de découvrir un peu plus cet endroit en nous promenant le long du lac. Nous faisons connaissance avec le « Wanaka Tree », célèbre grâce à une photo instagram qui a fait le tour du globe. A y regarder de près, il n’a rien de spécial cet arbre. Il y a d’ailleurs exactement le même une centaine de mètres plus loin mais qui n’a pas eu droit, lui, à son moment de gloire photographique. Des centaines (milliers peut-être) de personnes viennent ici, parfois uniquement pour prendre une photo de cet arbre. Les réseaux sociaux créent des focus surprenants et qui prennent des dimensions dingues.  Voici une petite comparaison en image pour se rendre compte :

Photo instagram 

Notre photo : c’est un arbre quoi … Et elle est où l’eau autour ???

Bref, comme le dirait le grand Shakespeare, « beaucoup de bruit pour rien ». 

On continue notre marche jusqu’à un point nommé Waterfall Creek. Le nom seul est magique : on imagine une cascade exceptionnelle dans une crique merveilleuse. Ouarf ! Ouarf ! Ouarf !  Arrivés au lieu dit, point de crique et encore moins de waterfall !!! La vue est jolie mais nous sommes quand même bien déçus et repartons en marche arrière la queue entre les jambes. Cette promenade facile nous donne l’occasion de bien papoter avec les enfants de leur avenir, de leurs émotions, de la façon dont ils voient le retour … Samuel fait une fixation sur sa chambre et nous explique comment il voudra la transformer en rentrant. Il fait des plans, des dessins et passent des heures à rechercher sur internet tous les éléments de son « set up de bureau » qu’il voudrait acheter. C’est vraiment sympa qu’il se projette ainsi.

Bon, décidément, Wanaka ne nous emballe pas. Trop touristique, manque de charme. On décide de rentrer vite vite dans notre camping paradisiaque. Simon et Adam nous déposent, attrapent rapidement leurs affaires de grimpe et repartent aussitôt sur Wanaka car il y a une salle d’escalade à tester bien sûr !! Nino, Sam et moi retournons nous baigner.

Dans l’eau, je fais connaissance avec un jeune couple de Français (encore des Français) avec qui je papote longuement jusqu’à ce que l’ombre recouvre la plage et que nous commencions à grelotter. Ces rencontres imprévues sont toujours des échanges très riches et agréables. On découvre des parcours de vie. 

Laurie et son compagnon ont 33 ans et font un break nécessaire dans leur boulot. Elle est dans la vente niveau Sup de Co +++. Lui est auto entrepreneur d’une boîte de jeux de société (ce qui éveille un intérêt certain de Nino, évidemment, qui entame tout de suite la conversation). Ils nous questionnent en retour sur notre projet et une fois de plus sont très admiratifs. Nous entendons souvent un mot qui revient chez les gens que nous rencontrons sur le parcours : notre aventure en  famille est inspirante. « Inspirant ». Ce mot nous touche beaucoup car nous n’en avions pas du tout conscience. C’est surtout les jeunes gens qui nous le disent car je crois qu’ils se projettent en tant qu’adultes et parents. Je me dis que peut-être certaines de ces personnes partiront avec leurs enfants pour une grande aventure car ils savent maintenant que c’est possible. C’est réjouissant de nous sentir inspirants. Je souris.  

Laurie est surprenante d’aplomb et de confiance en elle. Je m’étonne toujours de ces personnalités incroyables, si jeunes et pourtant si sûre d’elle et de leurs compétences. J’aurais tant aimé être comme ça étant plus jeune. Tu sais ce que tu vaux et tu peux avancer sans te poser trop de questions et sans avoir constamment le syndrome de l’imposteur. Cet échange avec eux pourrait durer encore longtemps mas il faut rentrer pour préparer le repas du soir. Ils voyagent en van et se sont posés juste devant la plage. Bonne nuit de rêve les amis !

Nos deux grimpeurs sont de retour, ravis. La salle de grimpe n’était pas dingue mais elle leur a permis de refaire un peu de difficulté. Pour terminer la soirée en beauté, on mange des wraps sur une table de camping à l’extérieur et on finit tous les 5 collés sur un lit double pour regarder la deuxième partie de « Largo Winch ». Finalement, on est un peu déçus car le film n’a pas très bien vieilli. Ça ne nous empêchera pas de dormir. 

 

Vendredi 14 février 2025

Lac Hawea – Queenstown – Alexandra / Soleil / 26°

Ce matin, Simon se réveille le premier, comme d’habitude. Nous devons quitter la cabine à 10h. Pas question de perdre une minute. On prend notre petit déj et hop, je saute dans mon maillot et fonce à la plage. L’eau est fraîche ce matin mais peu importe. Je vais me baigner pendant 20 bonnes minutes. Je suis remplie de beauté et de quiétude. Ce moment de pure magie me coupe presque le souffle, un temps suspendu de paix intérieure et de grande intensité. Je pense m’approcher d’une sorte de Nirvana. C’est un moment rare et précieux que j’espère porter toujours avec moi. Je suis pleine de gratitude pour ce bonheur intense. 

En remontant sur la berge, je retrouve Laurie, la jeune française avec qui j’ai parlé la veille. Nous recommençons à papoter de tout et de rien. De la vie passée, présente et à venir. J’adore vraiment ces rencontres. 

Houpla, il est presque 9h30!! Il est temps de rentrer rejoindre mes hommes pour finir les bagages. Bye bye Laurie ! Bonne route à vous ! 

Et c’est parti pour Queenstown. 

Le paysage est incroyable sur la route. Nous savons que nous reprendrons ce chemin dans 10 jours et nous en sommes ravis. Des chaînes de montagne à perte de vus vierges de toute présence humaine.  Nous nous demandons s’il est possible de trouver ce type de paysage en France. 

Nous arrivons à Queenstown vers 12h15. Les parkings sont hyper chers !!! Ça nous fait mal de dépenser 50€ pour garer la voiture quelques heures. On finit par trouver une place gratuite pas trop loin du centre mais pour une durée limitée de 180 minutes. On sait qu’on va rester plus de temps partis. Tant pis, on prend le risque. Espérons que nous ne retrouverons pas notre voiture à la fourrière. 

Direction le Kiwi Parc car nous avons très envie de voir des Kiwis en vrai et il y a peu de lieux où cela est possible en Nouvelle Zélande. Pour le moment aucun des néo-zélandais rencontrés jusque là n’a vu de kiwi de sa vie. En effet, si cet animal habite dans certaines zones du pays, il est quasiment impossible d’en croiser en pleine nature car ils sont très rares et ne sortent que la nuit. Seuls les parcs zoologiques permettent d’en voir en journée dans des conditions parfaitement respectueuses de leur habitat naturel.  

Le parc est bien aménagé (pique-nique mangé sur une petite table à l’ombre). Il a été construit sur une ancienne décharge publique il y a une vingtaine d’année par un particulier passionné de nature et qui a décidé d’en faire une réserve naturelle composée des espèces endémiques menacées en Nouvelle Zélande.

Nous sommes chanceux de pourvoir admirer 4 mignons kiwis en train de picorer le sol. Leurs habitats étant plongés dans l’obscurité, nos yeux doivent s’adapter pendant plusieurs minutes avant de voir les petites boules de plumes/poils. L’extinction progressive de cette espèce est due à la colonisation du pays par les européens (encore eux) qui ont amené des rats et des opossums dans leur bateau. Ces prédateurs mangent les oeufs des kiwis réduisant la population de la race peu à peu.

Ils font se reproduire les kiwis, les protègent les premières années, les préparent à la vie extérieure et les relâchent quand ils font plus d’un kilo et demi.  Super projet qui ne peut exister que grâce aux entrées des visiteurs. C’est  pas donné mais c’est pour une bonne cause.

Dans le parc nous avons également la chance de découvrir des espèces d’oiseaux et de lézards très rares. Le parc n’est pas grand mais très bien fait. Nous passons tous un excellent moment

 

En sortant  du parc, nous nous dirigeons directement vers la Gondola, le téléphérique qui emmène jusqu’au Mont Ben Lomond permettant l’accès à un point de vue sur la ville. En haut, nous arrivons dans une énorme structure avec restaurants, boutiques, plateforme panoramique et piste de luge d’été. Samuel aimerait beaucoup faire de la luge mais les prix sont vraiment importants. Une fois sur la plateforme, c’est la déception. La vue qui aurait pu être incroyable est gâchée par la présence d’une énorme grue plantée juste devant.  La structure déjà imposante est encore en train de s’agrandir. Queenstown est considérée comme LA ville des sensations fortes. Des tas d’activités sont donc proposées : parapente, luge, vélo de descente, jetboard, sous marin, sports de glisse sur le lac… L’agrandissement du bâtiment est signe que la vile ne va pas s’arrêter là. 

N’ayant pas trouvé de randonnée intéressante à faire dans le coin, on décide de faire une surprise aux enfants. On casse notre tire-lire et on se paye 3 descentes de luge chacun. On s’éclate à essayer de se doubler les uns les autres. Tout le monde est ravi. On mangera encore des pâtes ce soir.😜

Après cette montée d’adrénaline, on fait les feignants et on redescend en téléphérique pour rejoindre notre voiture. Pendant le trajet, on croise les doigts pour la retrouver car ça fait plus de 5 heures qu’on est partis. En arrivant au parking, ouf, la voiture est bien là mais on voit au loin deux policiers sur le point de la verbaliser. Ouf, on arrive à temps. « Perfect timing  » nous diront-ils le sourire aux lèvres en nous voyant débouler en courant. 

 

 

 

 

 

 

Nous quittons vite le parking et allons sur les quais pour nous balader au coeur de Queenstown. Le centre ville est très mignon au bord d’un grand lac. Super ambiance. Ville animée, joyeuse, piétonne, charmante. Une ville touristique mais mimi. On reste un moment à prendre le pouls de la ville. On hésite à se poser dans un petit resto pour le repas du soir mais la tire-lire est bien entamée et tout est cher ici. On se rabat sur un MacDo aux prix plus abordables car malheureusement il n’y a pas de cuisine dans  notre Airbnb ce soir.

Le logement est très bien. Nous sommes vraiment ravis de cette petite pause de 4 jours entre deux wwoofing, un peu fatigante mais avec un vrai esprit de vacances et la découverte de paysages incroyables. 

Les enfants sont ravis aussi mais ils vont devoir travailler fort le CNED car ils ont à nouveau pris un peu de retard car difficile de travailler durant ces jours off.  Demain une nouvelle page s’ouvre dans notre aventure de volontariat. On a hâte. 

PS : Je suis bien consciente de l’emploi abusif de superlatifs mais je défie quiconque de s’en passer en Nouvelle Zélande. ☺️

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